GROUPE POUR LA ROUMANIE – Communiqué n°44
concernant l’élection présidentielle roumaine du 4 au 18 mai 2025
17h12, le 28 mai 2025
Après analyse des événements politiques en Roumanie, de la campagne électorale et du déroulement du scrutin pour l’élection du président de la Roumanie, le Groupe pour la Roumanie (GpR) est parvenu aux conclusions suivantes :
Les élections qui se sont déroulées en mai 2025 ont été illégales, organisées dans le but de remplacer les élections prévues en novembre-décembre 2024, elles-mêmes annulées illégalement par des violations de la Constitution et d'autres lois nationales, perpétrées par le CSAT (Conseil Suprême de Défense du Pays), la Cour Constitutionnelle et le Bureau Électoral Central.
Les dirigeants de la Roumanie, à leur tête le président Klaus Werner Iohannis, le président intérimaire Ilie Bolojan (occupant illégalement cette fonction), ainsi que le gouvernement roumain nommé par un président resté illégalement en poste après l’expiration de son mandat, ont foulé aux pieds les normes démocratiques, abusé de leur pouvoir et servi les intérêts de forces colonialistes étrangères – à savoir l’administration démocrate des États-Unis, la Commission européenne et la France – pour maintenir leur contrôle sur la Roumanie et poursuiv„re le pillage et la destruction du pays et de la culture roumaine, un processus ininterrompu depuis le 22 décembre 1989 jusqu’à aujourd’hui.
À l’illégalité de l’annulation des élections présidentielles de novembre-décembre 2024, de l’interdiction de participation à ces élections pour quatre candidats, et à l’illégalité des élections de mai 2025, se sont ajoutés d’autres faits illégaux et immoraux, tels que :
— l’ingérence de puissances étrangères dans le scrutin roumain ;
— une manipulation massive par une propagande mensongère et agressive contre le mouvement patriotique national-souverainiste des Roumains, y compris ceux travaillant en Occident ;
— le financement par le gouvernement roumain de cette manipulation via de fausses accusations, non prouvées jusqu’à la validation du nouveau président, comme l’implication de la Russie, ou la prétendue volonté du mouvement souverainiste de sortir la Roumanie de l’UE et de l’OTAN ;
— les déclarations mensongères coordonnées du secrétaire d’État américain, du président français et de représentants de la Commission européenne, prétendant que le mouvement patriotique roumain entretiendrait des liens secrets avec la Russie ;
— les affirmations mensongères du président illégalement maintenu en poste, Klaus Werner Iohannis (personnage reconnu comme profondément corrompu), selon lesquelles l’ingérence russe aurait favorisé la victoire du candidat souverainiste lors du scrutin annulé ;
— les rapports mensongers de certains services secrets roumains, sans preuves, destinés à faire pression sur la Cour Constitutionnelle et le Bureau Électoral Central pour qu’ils annulent les élections et interdisent à certains candidats de se présenter, afin que le peuple ne puisse voter que pour les candidats autorisés par le pouvoir en place ;
— des actions de répression politique contre des collaborateurs des candidats souverainistes : arrestations, perquisitions, descentes de police – toutes injustifiées ;
— la présence sur les listes électorales d’un grand nombre d’entrées fictives ou de personnes décédées, et le refus répété de l’Autorité électorale permanente d’élaborer des listes électorales réelles, malgré les demandes de l’opinion publique. Ces entrées fictives ont été utilisées en faveur du candidat soutenu par les puissances colonialistes, comme l’ont constaté de nombreux électeurs. Le recensement de 2022 indiquait une population d’environ 19 millions d’habitants, tandis que les listes électorales comptaient environ 18,9 millions de citoyens avec droit de vote, ce qui est invraisemblable. Or, selon l’Institut national de statistique (INS), la population âgée de 0 à 18 ans s’élevait à 3,5 millions. Un calcul simple révèle donc environ 3,4 millions d’entrées fictives sur les listes électorales – une illégalité majeure ;
— l’implication du STS (Service des télécommunications spéciales) dans l’organisation du vote, maintenue malgré les contestations publiques ;
— l’interruption du signal GSM depuis la station du sommet "Omul" pendant les élections, empêchant le contrôle des enregistrements de vote ;
— la prétendue comptabilisation des votes en seulement 3 heures, ce qui s’est révélé techniquement impossible ;
— la désactivation de la fonction des tablettes STS empêchant le vote multiple, ce qui a permis à des individus de voter plusieurs fois sur différentes listes ;
— un taux extrêmement élevé de votants sur les listes supplémentaires : 26 % du total ;
— de nombreux cas avérés de vote acheté : électeurs payés et transportés en bus pour voter pour le candidat du système ;
— utilisation de bulletins de vote imprimés à la hâte, sans numéro de série officiel ;
— transfert massif de votes du candidat souverainiste vers le candidat des colonialistes via l’application NAPS2 ;
La Banque nationale de Roumanie a influencé les élections par une dévaluation artificielle de la monnaie nationale, ce qui a effrayé une grande partie de la population et conduit certains électeurs naïfs à voter pour le candidat des colonialistes étrangers, dans l’espoir de stabiliser le leu.
— des entreprises étrangères et certaines roumaines ont influencé le vote en menaçant de quitter le pays ou de suspendre leur activité si leur candidat ne gagnait pas ;
— des diplomates et anciens diplomates étrangers se sont impliqués dans le processus électoral roumain, en violation de la déontologie diplomatique ; leurs actions ont bafoué les principes qui régissent les relations entre États, tels qu’énoncés dans l’Acte final d’Helsinki du 1er août 1975 et dans la Charte des Nations Unies, notamment celui de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un État. Ces violations graves de la souveraineté de la Roumanie n’ont pas suscité de réaction de la part de ses dirigeants politiques.
Le Groupe pour la Roumanie constate une fois de plus que les services secrets roumains, véritables détenteurs du pouvoir, n’ont pas soutenu la mouvance patriotique souverainiste, ni même adopté une position neutre, mais ont servi les intérêts et le candidat des puissances colonialistes qui détruisent la Roumanie, ainsi que leurs agents en Roumanie.
Dans le même temps, adoptant une position aussi objective que possible, le GpR a analysé l’activité des candidats de la mouvance patriotique souverainiste et de leurs soutiens. À ce sujet, le Groupe note que :
Des infiltrés se sont introduits dans le mouvement patriotique national-souverainiste et, tout au long de l’année électorale 2024-2025, ont systématiquement sapé l’action des deux principaux candidats du mouvement, agissant ainsi dans le sens des efforts du régime politico-idéologique judéo-euro-atlantiste et des services secrets roumains à sa solde, visant à détruire le patriotisme roumain. Cette action s’est prolongée même après le premier tour annulé (du 24 novembre) et après le premier tour du 4 mai 2025, alors que les candidats restants du mouvement patriotique étaient la seule alternative. Le GpR retiendra les noms de ces infiltrés dans sa mémoire propre et pour l’histoire comme étant des traîtres. Le GpR…
e GpR estime qu’ils devront un jour répondre, moralement et peut-être juridiquement, de leurs actes de trahison, de sabotage interne et du soutien indirect apporté au régime colonialiste, en dépit des apparences de « patriotisme ».
Conclusion générale
Le Groupe pour la Roumanie réaffirme sa conviction que les élections présidentielles des 4 et 18 mai 2025 ne peuvent être considérées comme valides, et que le président « élu » par ces moyens frauduleux n’est pas légitime. Il est le produit d’un processus vicié de bout en bout, mêlant abus de pouvoir, manipulation de l’information, violations de la Constitution, pressions extérieures, sabotage interne et corruption institutionnelle.
Le GpR attire l’attention de l’opinion publique roumaine et internationale sur le fait que, à ce moment précis, la Roumanie n’est plus un État démocratique et souverain, mais un protectorat de facto, dirigé par des puissances extérieures et par une classe politique subordonnée, dans laquelle les services secrets jouent le rôle d’un régime parallèle répressif.
Le Groupe pour la Roumanie lance également un appel à toutes les forces civiques, politiques et religieuses qui croient encore aux valeurs nationales, à la souveraineté, à la loi et à la dignité du peuple roumain, à ne pas reconnaître les résultats de ces élections illégales, à s’organiser et à agir en vue de restaurer la démocratie, l’État de droit et l’indépendance nationale.
Le Groupe pour la Roumanie réaffirme sa mission de vigie civique et patriotique, avec le devoir de dire la vérité, de garder la mémoire des faits, de dénoncer la trahison et de soutenir une reconstruction nationale fondée sur la souveraineté et la démocratie.
Fait à Bucarest, le 28 mai 2025
GpR – Groupe pour la Roumanie
Communiqué n° 44
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joi, 29 mai 2025
GROUPE POUR LA ROUMANIE – Communiqué n°44 concernant l’élection présidentielle roumaine du 4 au 18 mai 2025 17h12, le 28 mai 2025
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